liberté, dignité, sûreté

« Il n’y aura ni liberté, ni dignité, ni sûreté, dans notre pays

tant que l’on s’occupera des noms propres. »

Ce propos est de Mme de Staël (1766-1817).

Svastika-crops-circle-dom-s  1817 à 2012, cela ne fait que 200 ans, quelques brassées de septennats durant lesquels encore une de nos meilleures cervelles nationales n’aura servie qu’à….pfffff, c’est fatiguant l’indifférence des masses dominantes. Mais j’ai compris ! En matère de noms propres. Werber, dans son œuvre « Le père de nos père » nous dévoile comment l’être humain est aparu sur la terre ; ….un singe, un jour, tomba dans le fond d’une cavité en gambadant dans la forêt et ne pu en remonter. Peu de jours après, une truie tomba à son tour dans le fond de ce trou. Ils s’observèrent un temps, s’approchèrent, se humèrent, se touchent et copulent. Normal.
La truie accoucha de quelques nouveaus spécimens ; les humains !

lorsque des siècles plus tard apparurent les premiers intellectuels un peu friqués, leur reflets orgueuilleux les éblouirent et ils inventèrent les noms Propres, pour se différencier de ceux qu’ils méprisaient – leurs semblables moins pétés de tunes et moins orgueilleux. Ces noms Propres, ils se les inventèrent pour faire croire qu’ils n’étaient ni cochon ni singe, mais bien des nobles, des sang bleu.
Viande pourie quoi.

Dom

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